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Bon à savoir

"Pendant les travaux, les cours d'Armentières en Brie se font à la salle des fêtes d'Isles Les Meldeuses (rue du bac) - Information : 06 98 75 87 03"

 

Les Bienfaits de la danse :

Les bienfaits pour la santé :


Grace à la danse nous musclons notre cœur, augmentons nos capacités respiratoires et améliorons notre circulation sanguine, prévenant ainsi du cholestérol, du surpoids ou des maladies cardio-vasculaires.

Ainsi, la danse combat l’hypertension. En effet, une activité physique constante provoque la dilatation des vaisseaux artériels, réduisant par là même occasion la pression sanguine. Comme pour tout exercice, physique le corps utilise l’oxygène pour produire de l’énergie, le muscle cardiaque reçoit pendant la danse un apport de sang important. Danser est donc recommandé pour maintenir ce muscle en bonne condition.

De plus, la danse est une aide précieuse non seulement dans les régimes amaigrissants, mais aussi pour combattre l’artériosclérose. Il est en effet prouvé que toutes les activités physiques liées à des efforts d’une durée d’environ 30 à 45 minutes amorcent le métabolisme des graisses dans toutes les parties du corps. Cela signifie que, au début de l’effort, l’organisme brûle les sucres et ensuite les graisses. Une pratique régulière de la danse présente donc l’avantage d’« assécher » les parties du corps où les graisses se sont accumulées. Cela vaut aussi pour les graisses qui circulent dans le sang, comme les triglycérides et le cholestérol, dont le taux baisse. En outre, l’activité physique contribue à améliorer le rapport entre cholestérol h dl, protecteur des artères, et le ldl, nocif. Si l’exercice physique est régulier, le métabolisme des graisses devient ensuite un mécanisme capable de fonctionner, même au repos.

Notons aussi que danser combat les varices et améliore la circulation veineuse des jambes, problème typiquement féminin. Chez les femmes, en effet, les valvules veineuses, qui ont pour fonction de faciliter le retour du sang et d’en empêcher le reflux, sont plus fragiles que chez les hommes. Danser devient alors très utile car un mouvement constant des muscles et des jambes réactive la circulation (Source : Entredanses).
Elle aide également à travailler aussi l’endurance.

Une heure de danse vous fera éliminer 238 Kcal, soit l’équivalent d’1/2h de natation. Une heure de rock vous fera éliminer 700 Kcal, soit l’équivalent d’1h 1/2 de piscine (Source : pas2danse).

Précisons également qu’il n’y a pas de limites d’âge pour pratiquer la danse. Cette dernière aide à conserver jeunesse et vitalité.


Les bienfaits pour le corps :


Lorsqu’on commence à pratiquer la danse, nous commençons aussi à prendre conscience de notre corps, des rigidités et des déconnexions sont mises au jour. Les questions que se pose un nouveau danseur sont les suivantes : pourquoi est-ce que je ne peux pas « lâcher » mon tour de taille, les hanches ou les épaules ? Pourquoi je ne réussis pas à harmoniser mes pieds avec mes mains, et la tête avec le tronc ? Le corps reflète notre personnalité et nos conflits internes. Rien de tel que de danser pour que tout cela devienne évident. C’est précisément le premier grand apport de la danse : elle nous aide à nous connecter avec nous-mêmes, et elle permet d’exprimer notre monde intérieur. La capacité à suivre le rythme de la musique avec le corps encourage la reconnaissance de soi-même et révèle notre asynchronisme.

En outre, la danse nous permet de renforcer nos muscles, d’entretenir nos articulations, de travailler notre équilibre et notre souplesse ; le tout sans avoir le sentiment de fournir un effort ou de souffrir, et en pouvant même en éprouver un réel plaisir (d’après France Schott-Billmann, psychologue et danse-thérapeute).

En l’occurrence, elle fait appel à de nombreux muscles, dont certains qui sont rarement mis à l’épreuve dans la vie quotidienne ou dans d’autres sports. Dans tous les mouvements qu’elle nous fait faire, elle dessine nos muscles pour les rendre plus résistants face au poids de notre corps, et pour ainsi arriver à faire des mouvements qui parfois nous étonnent. Certains mouvements sont tellement rigoureux et précis qu’ils sollicitent l’action de nombreux muscles du corps, y compris dans des parties du corps que vous ne soupçonneriez pas. On développe donc notamment beaucoup de force dans les jambes, mais aussi dans les bras et dans les abdominaux.

La danse permet également d’améliorer notre souplesse, des doigts de pieds aux hanches en passant par les chevilles et les genoux.

Les sessions de danse durant généralement plus de 45 minutes et pouvant parfois s’étaler sur plusieurs heures sans que l’on voit le temps passer, la danse peut être considérée comme un sport d’endurance. Ainsi danser régulièrement améliore notre endurance.

La danse permet aussi de prévenir les vertiges. Vous êtes-vous déjà demandé pourquoi les danseurs de ballet ne sont jamais étourdis quand ils font plein de pirouettes ? La recherche suggère que grâce à des années d'entraînement, les danseurs développent la capacité de supprimer les signaux des organes de l'équilibre dans l'oreille interne. Le Dr. Barry Seemungal, explique ce phénomène par le fait qu'il n'est pas "utile" pour les danseurs de ressentir des vertiges ou le manque d'équilibre. C'est même l'inverse. Résultat, au fil des années, le cerveau des danseurs s'adapte et supprime cette sensation qui ne leur sert à rien. Par conséquent, le signal dans le cerveau responsable des étourdissements est réduit au minimum, ce qui permet aux danseurs d'être résistants à la sensation de vertige. Si vous souffrez de vertiges, il est donc utile de pratiquer régulièrement toute forme de danse pour atténuer ce souci. Danser aide à améliorer cette fonction dans votre cervelet, qui à son tour va vous aider à améliorer votre équilibre et vous rendre moins sujet au vertige. Ne vous inquiétez pas, pas besoin d'être un bon danseur pour profiter des bienfaits de ce sport. Le simple fait de danser, quel que soit votre niveau, vous sera bénéfique ! "Avoir le tournis ou se sentir pris de vertiges, pour un danseur, c'est loin d'être pratique. Au fil des années, le cerveau s'adapte et s'affranchit de ces désagréments, jusqu'à disparaître presque totalement" (Citation du docteur Barry Seemungal).

Enfin, la danse nous fait travailler aussi la dissociation du corps. Notamment entre le haut et le bas. (Exemples avec la salsa, le Paso Doble, le Merengue, etc.)

Elle améliore aussi très nettement le maintien : par exemple l’ensemble des danses standards demandent un maintien permanent, les danseurs devant se tenir droit.



Les bienfaits pour l’esprit :


Notre cerveau est stimulé lorsque nous dansons. L’attention, la concentration et la mémoire sont fortement sollicitées pour observer les gestes à reproduire et retenir les enchaînements. En effet, danser, c'est aussi être capable de retenir de nombreux pas. Pour mieux les mémoriser, les danseurs se soumettent à un exercice de répétition et de reproduction régulier. Et selon les résultats d'une étude menée par le chercheur Edward Warburton, un ancien danseur de ballet professionnel, et publiée dans la revue Psychological Science, ce processus serait un excellent exercice pour la mémoire.

La danse fait progresser la mémoire musculaire :

Selon l’étude menée par le collège Albert Einstein de médecine à New York qui a analysé les bienfaits de la danse sur le cerveau, les danseurs sont capables d'accomplir des mouvements complexes plus facilement quand ils vivent le processus de « marquage ». Qu'est-ce que le processus de « marquage » ? C'est tout simplement le fait de faire lentement des mouvements en les enregistrant pendant les répétitions. Le danseur Edward Warburton, et ses collègues ont examiné ce à quoi on pense quand on pratique la danse. Ils ont publié leurs résultats dans le journal Psychological Science. Ils ont constaté que le marquage diminue le conflit entre les aspects cognitifs et physiques de la danse. Cela donne donc aux danseurs une chance de mémoriser et de répéter les mouvements avec une plus grande fluidité, presque machinalement. Il a été conclu que la visualisation des mouvements et le marquage peuvent aider à améliorer la mémoire musculaire. Ce type de visualisation et de marquage, appris grâce à la danse, peut également être utilisé dans de nombreux domaines de la vie courante et ainsi améliorer les performances.

Le Dr Katzman pense que plus nos synapses neuronales sont complexes, mieux c'est. Il pense aussi que nous devrions faire tout ce que l'on peut pour créer de nouvelles synapses au quotidien. Et bien évidemment, la danse est un excellent moyen de le faire ! À mesure que vous vieillissez, les cellules du cerveau meurent et les synapses deviennent plus faibles par exemple, les noms des personnes sont plus difficiles à retenir, c'est normal, car il n'y a qu'un seul chemin neuronal qui nous mène à cette information stockée dans le cerveau. Voici une analogie pour mieux comprendre : plus il y a de pierres de gué à travers le ruisseau, plus il est facile à franchir avec votre propre style. L’objectif de cet aphorisme est la pensée créative, cela permet de trouver autant de voies alternatives possibles à une solution créative. Mais avec l'âge, le traitement parallèle devient plus critique. Maintenant, ce n'est plus une question de style, c'est une question de survie il faut avant tout passer le ruisseau. Les cellules du cerveau qui meurent au hasard sont comme des pierres de gué étant retirés une par une. Ceux qui n'avaient qu'un seul chemin bien usé de pierres sont complètement bloqués lorsque certaines sont supprimées. En revanche, pour ceux qui ont passé leur vie à essayer différentes voies mentales à chaque fois, qui ont créé une multitude de chemins, il reste plusieurs accès possibles.

L’étude de « l'Albert Einstein Collège of Médicine » montre que nous devons garder le plus grand nombre de ces chemins actifs, tout en générant de nouvelles voies, en maintenant la complexité de nos synapses neuronales. Ainsi, si vous apprenez de nouvelles choses, comme à faire de la danse, vous travaillerez sur la construction de nouveaux chemins mentaux. Donc, si un chemin mental est perdu à cause de la vieillesse, vous en aurez un autre récemment créé, qui prendra le relais et qui vous permettra d'accéder aux informations et souvenirs dans votre mémoire.

De plus, apprendre une chorégraphie demande beaucoup de concentration et met notre mémoire à l’épreuve. Il faut en effet arriver à retenir des dizaines, voir des centaines de mouvements, mais aussi l’ordre dans lequel ils s’enchaînent et le rythme auquel il faut les effectuer. Les cours de danse sont donc un bon entraînement pour notre mémoire. Ils arrivent à améliorer ses capacités, mais aussi à éviter les problèmes de mémoire qui peuvent apparaître avec l’âge.

D’ailleurs, l’étude menée par le collège Albert Einstein de médecine à New York, a été réalisée pendant 21 ans et s'est intéressée aux personnes âgées de 75 ans et plus (suivez le lien). Les chercheurs ont mesuré l'acuité mentale des sujets, pendant cette période de vieillissement, en surveillant les taux de démence. L'objectif de l'étude était de déterminer si des activités récréatives physiques ou cognitives avaient un effet sur l'acuité mentale. L'étude a révélé que certaines activités cognitives influent sur l'acuité mentale mais qu'aucune activité physique n'avait d'effets dessus. La seule exception était la pratique de la danse : Danser fréquemment diminue le risque de démence de 76 % (à titre de comparaison, faire des mots croisés au moins quatre jours par semaine ne diminue le rsique de démence que de 47 %, la lecture ne le diminue que de 35%. Quant à la pratique de la bicyclette, de la natation et du golf les effets sont nuls). En conséquence, la danse améliore la neuroplasticité du cerveau. C'est la plus grande réduction des risques de toute activité étudiée, cognitive ou physique. Citons le Dr Joseph Coyle, un psychiatre de « Harvard Medical School » qui a écrit ce commentaire : «Le cortex cérébral et l'hippocampe, qui sont essentiels à ces activités, sont remarquablement plastiques, et ils se reconnectent en fonction de leur utilisation. Les personnes qui dansent régulièrement ont donc de plus grandes capacités cognitives et une complexité accrue des synapses neuronales (Notons que le neurologue Dr Robert Katzman arrive à la même conclusion). La danse réduit donc le risque de démence en améliorant la capacité neuronale. Elle aide ainsi le cerveau à reconnecter continuellement ses voies neuronales.

En outre, en vieillissant, les cellules du cerveau meurent petit à petit et les synapses, qui assurent la bonne transmission entre les neurones, deviennent plus faibles. Pour anticiper le plus possible cette dégringolade annoncée, les spécialistes préconisent de faire travailler ses synapses le plus possible. C'est l'un des nombreux avantages de la danse : elle permet de créer de nouvelles connexions nerveuses, c'est un très bon moyen de booster l'interaction entre les synapses et les neurones. Ainsi, tous les éléments énoncés démontrent que cela fait travailler le cerveau. Ce qui peut être très utile dans la lutte contre les démences et la maladie d’Alzeihmer par exemple. D’ailleurs, une étude faite sur des personnes âgées et publiée dans le New England Journal of Medicine a démontré que la danse permet d’éviter les effets négatifs de la maladie d’Alzheimer et d’autres types de démence. Il a été également démontré que la danse améliore l’acuité mentale des gens de tout âge et que beaucoup de personnes souffrant de cette maladie sont parvenues à se souvenir de certains moments lorsqu’elles dansaient sur des musiques qu’elles connaissaient.

À McGill, une université canadienne, une étude étonnante a été réalisée, dans laquelle les personnes atteintes de la maladie de Parkinson amélioraient notablement leur condition quand elles dansaient le tango régulièrement. Plusieurs des malades ont rapporté que lorsqu’ils se mettent à danser au son de la musique, les tremblements de leur corps disparaissaient. Le rythme de la musique se transférait dans leur corps.

Devient-on plus intelligent ? En nous forçant parfois à prendre des décisions rapidement, comme c’est le cas lors de certaines danses de couple ou lors d’improvisations, la danse améliore notre capacité à faire face à des situations inconnues. Notre habilité à prendre des décisions en toutes circonstances est ainsi fortement améliorée, tout comme notre acuité mentale. Détaillons cette idée : lorsque le cerveau évalue diverses possibilités de réponses raisonnables et choisit délibérément une réponse, ce processus est considéré comme de l'intelligence. Jean Piaget a déclaré que l'intelligence est ce que l'on utilise quand on est devant un problème et que l'on ne sait pas comment le résoudre. Pour simplifier, l'essence de l'intelligence est de savoir prendre des décisions. Pour améliorer votre acuité mentale, il est préférable de vous impliquer dans une activité qui exige une prise de décision rapide, en une fraction de seconde. La danse est un exemple d'activité qui exige une prise de décision rapide. Elle nécessite des réponses instantanées à des questions telles que : "Quel pas faire" ou "Quand faut-il tourner ? " , "À quelle vitesse dois-je me déplacer ?" ou encore "comment je dois réagir aux mouvements de mon partenaire ?" La danse est donc un excellent moyen de maintenir et d'améliorer votre intelligence (pour plus d'informations consulter le lien : suivez le lien).

Ainsi, il n’y a pas que les hommes dans leur rôle de ‘leader’ (de guide) qui sont soumis à cette réflexion rapide mais aussi les femmes dans leur rôle de ‘follower’. En d’autres termes, elles ne font pas que suivre, elles interprètent les signaux de leurs partenaires, et cela exige de l'intelligence et de la prise de décision, ce qui est actif et non passif. Cet avantage est grandement amélioré en ne dansant avec pas toujours avec la même personne. Avec des partenaires de danse différents, vous devez ajuster beaucoup plus votre capacité d'écoute et être attentives à plus de variables. Cela permet de rester plus intelligent.

Revenons aux danseurs et abordons une dernière notion. Ce dernier doit remarquer chez sa partenaire ce qui fonctionne le mieux pour elle et ce qui ne réussit pas, et adapter en permanence sa danse à ses observations. C'est devoir prendre des décisions très rapides, instantanées. De plus, il est important qu’il n’effectue pas les mêmes schémas qu’il a pu apprendre par le passé de la même façon à chaque fois. Il faut relever le défi d'essayer de nouvelles choses. Prendre des décisions plus souvent. L’intelligence sera par conséquent entretenue. Pour finir, il y aura un avantage secondaire : c’est que vos partenaires auront beaucoup plus de plaisir à danser avec vous, lorsque vous serez attentifs à leur danse et que vous vous ajusterez constamment pour leur confort et la continuité du mouvement (d'après Richard Powers de l'Université de Stanford).

Enfin, la danse permet aussi de travailler la coordination de nos gestes et la dissociation de ces derniers : par exemple en Rock avec l’exécution du Back Step et le guidage des mains ou encore en salsa cubaine avec des figures comme : Mosquito et Pelota loca, et.

Rien de tel que l’apprentissage d’une danse pour maintenir son esprit vif et alerte !


Les bienfaits pour le moral :


"Je ne connais personne qui résiste à la joie que procure la danse ! Il suffit de se mettre en mouvement sur un air pour que cette émotion surgisse comme par magie", annonce Véronique Sommer, psychologue et danse-thérapeute.

Mais d’où vient donc ce pouvoir euphorisant de la danse ? Danser nous reconnecte aux souvenirs heureux de notre toute petite enfance, quand notre mère nous berçait dans ses bras, et surtout quand, dans son ventre, nous étions habités par le rythme de ses battements de cœur, doucement balancés au gré de ses mouvements d’après France Schott-Billmann et Véronique Sommer.

Comme pour les autres exercices physiques, la danse libère des endorphines. Celles-ci permettent de diminuer l’effet du stress et soulagent de l’anxiété. La danse agit aussi sur la production d’hormones : la sérotonine et la dopamine sont les hormones du bien-être et de la sensation du travail bien fait. En d’autres termes, la danse peut contribuer à combattre la dépression, ce qui est très important, surtout quand on sait à quel point la dépression est présente chez les adolescents ou les adultes de tout âge.

D’ailleurs, une étude faite par l’International Journal of Neuroscience, indique que la thérapie par les gestes et les mouvements de danse permet de soigner la dépression et le stress grâce à sa capacité de contrôler les niveaux de sérotonine et de dopamine présentes dans le corps. Dans, cette même étude publiée en 2005, on a étudié un groupe d’adolescents dépressifs : leur état s’est significativement amélioré grâce à la danse. Elle leur a permis de réduire les niveaux de dopamine et d’augmenter ceux de sérotonine, ce qui finalement a amélioré leur moral. Notons également, que la danse étant une activité sociale, elle aide à se débarrasser des sentiments d’isolement présents chez les personnes qui souffrent de dépression ou parfois chez celles qui vivent seules.

Le bonheur que nous pouvons trouver dans la danse tient également à son aspect esthétique. "Ces pas, gestes et figures hérités d’une très longue histoire, quelle que soit la danse, ont fait la preuve de leur beauté et de leur harmonie. Et cela n’est pas sans effet sur le psychisme qui jouit de cette plénitude et de cet équilibre", explique France Schott-Billmann.

La danse permet d’évacuer ses soucis et son stress, parce que l’on doit se concentrer sur les mouvements à exécuter.

Une étude australienne datant de 2013 a aussi démontré l'efficacité thérapeutique du tango chez les personnes souffrant de troubles de l'humeur de type stress et anxiété.

Il n'y a rien d'étonnant à ce que danser soigne aussi le moral puisque cette activité permet de se défouler, de lâcher prise. Elle favorise les échanges et permet aux personnes de rompre leur solitude. Enfin, elle est un bon moyen de s'amuser.

Les bienfaits pour la confiance en soi :


"Lorsque nous dansons, nous donnons la parole à notre corps et il la prend ! En dépit de ce qui se passe dans notre tête, de nos doutes et de nos hésitations. Au fil des séances, il s’affirme, ose des mouvements plus amples, occupe plus largement l’espace. Entraîné par lui, nous gagnons en assurance", décrypte encore Véronique Sommer.
Et puis quand nous dansons, les émotions ne sont jamais très loin, toutes prêtes à s’exprimer. "Se mouvoir et s’émouvoir, deux termes phonologiquement très proches. Cela ne peut pas être un hasard…", note Véronique Sommer. "La danse nous touche au plus profond de nous. Elle vient réveiller en nous les émotions endormies ou bloquées, mais surtout leur permet de s’évacuer en toute tranquillité.

La confiance en soi grandit également lors des cours, quand on apprend à danser, avec d’autres partenaires. Ainsi, la danse est réellement une bonne école pour la timidité. Dans un premier temps, chacun est au même niveau, ce qui facilite le premier contact. Puis, avec la pratique, les mouvements se délient. Les contacts aussi car la danse est très participative. Cela permet de prendre de l’assurance. En effet, le contact des mains, des hanches, des jambes voir des bustes, oblige à lutter contre sa timidité et, au fils du temps, à acquérir une confiance en soi qui permet finalement de se concentrer uniquement sur le guidage ou la réception de ce dernier. On retrouve la même évolution quand on se retrouve à danser avec son professeur de danse.

Citons enfin la pratique de la danse en soirée avec la prise d’initiative pour inviter une danseuse ou d’être invité par un danseur, ou l’inverse...

Les bienfaits pour les qualités humaines :


Dans le cadre très réglementé d’une danse (les pas, le rythme à respecter), il n’existe aucun risque de se retrouver débordé par sa colère, sa tristesse", rassure France Schott-Billmann. Les émotions sortent au détour d’une passe de rock ou d’un pas chassé de Paso-Doble, mais toujours en étant canalisées, souvent même sublimées.
La danse fait travailler l’humilité. En effet, les cours de danse sont des lieux de bienveillance. On ne cherche pas à faire mieux que le voisin, on danse ensemble, en toute simplicité et en toute complicité, pour le plaisir. Sauf si, l'exercice est définie ainsi : par exemple dans le cadre d'une compétition, d'un concours ou d'une "battle".
Dans les dancings il n’est pas rare de trouver meilleurs danseurs que nous. Et même pour ceux qui excelleraient dans une danse, pourraient-ils se targuer d’avoir le même niveau dans les autres, quelles qu’elles soient ? Force est de reconnaître notre petitesse même si notre pratique se compte en décennies.

Ensuite, danser nous demande dans la plupart des cas, de nous adapter au corps et aux mouvements de l’autre personne. Sans nous en rendre compte, cela augmente l’empathie et la sociabilité.

Les bienfaits quand aux rapports aux autres :


C'est une excellente thérapie ! Danses africaines ou orientales, danses de salon, danses folkloriques ou modern jazz, toutes ont en commun de nous mettre au contact d’autres danseurs. "Partager le même rythme, effectuer les mêmes gestes au même moment, suivre un partenaire qui nous guide ou le guider nous-même, tout cela crée des liens très forts. Quand on danse dans un groupe, on ne se sent jamais seul", précise France Schott-Billmann.

En cours et en soirées, on apprend à danser avec de nouvelles personnes qui, au fils du temps, peuvent agrandir notre cercle d’amis. Nous ne pouvons pas tous être danseurs professionnels mais la danse est bien sûr à portée de tous et, de fait, elle est présente dans une infinité de situations sociales. C’est pour cela que les discothèques existent et que l’on fait des fêtes régionales ou familiales. Beaucoup pensent qu’une fête où l’on ne danse pas n’est pas une fête complète, car danser est synonyme de célébration et de joie et d’ouverture vers les autres.


Les bienfaits pour l’épanouissement :


La danse permet de donner libre cours à sa créativité. C’est une manière de s’affirmer et de se débarrasser de ses inhibitions. Vouloir bien danser nécessite d’apprendre à se fixer des objectifs, que l’on atteint progressivement. En dansant on exprime ses sentiments et on canalise son trop-plein d’énergie. De plus, danser est une manière de faire de la poésie avec le corps. Cela est très logique, puisque l’on sait que pour être bon danseur, nous devons bien connaître notre corps, et le connecter avec nos émotions profondes afin de les exprimer à travers des mouvements en particulier. Dans la danse, il y a toujours du bonheur même si certaines personnes expriment des sentiments dramatiques. “Les expériences les plus authentiques des gens se trouvent dans leur danse et leur musique. Le corps ne ment jamais” (Agnès de Mille).

Résumer en vidéo des bienfaits de la danse :


L’interview de Gérald Kierzek sur Europe 1 : cliquez ici

 

Les bienfaits des différentes danses enseignées par Feet Of Dance

Résumé des différentes danses enseignées par Feet Of Dance


Les danses de salon :


Les bienfaits du Tango :


Le Tango apparait au début du 20ème siècle en France. Mais existe depuis la fin du 19ème siècle en Argentine. Cette danse a été finalement standardisée en 1924.

Son tempo varie entre 100-136 bpm (124-132 bpm en compétition).

Le Tango est une danse nécessitant un guidage, comme l’ensemble des autres danses, mais peut-être encore plus rigoureux et une sensibilité à l’écoute plus étendue pour la danseuse. C’est une danse d’improvisation. On y travaille les jeux de rythme (les lents et les vites, voir les très vites).

Les bienfaits de la valse :


La Valse lente et la Valse rapide (viennoise) apparaissent en France, tout comme en Europe au début du 19ème siècle.

Pour la Valse lente le tempo varie entre 70-100 bpm (84-90 bpm en compétition) ; pour la Valse rapide 100-180 bpm (174-180 bpm en compétition). Au-dessus de 180 bpm pour la Valse musette.

La valse existe sous plusieurs déclinaisons : Valse lente (ou Boston), Valse rapide (ou viennoise), ou très rapide (valse dite ‘musette’), elles permettent de travailler l’alternance des pas de façon régulière, d’aborder la notion de rythme ternaire et d’étudier les tours. On y découvre des techniques d’accélération de tours (croix viennoise – rondé). Pour en arriver aux Fleckerls (Valse rapide) et à la toupie (en Valse musette). C’est l’une des seules danses où la danseuse guide pratiquement autant que le danseur. On y découvre aussi les notions corporelles d’ancrage, d’élévation, et de compression. Sans oublier la dissociation du haut et du bas du corps pendant les tours, où le haut aura un mouvement circulaire fluide et régulier tandis que le bas suivra les directions pour évoluer le long de la piste de danse.

Les bienfaits du Slow fox trot :


Le Slow Fox apparaît à partir de 1917 en France. Aux Etats-Unis, cette danse était connue depuis quelques années et, comme pour de nombreuses autres danses, elle prit naissance parmi la population noire de Harlem à New York.

Son tempo varie entre 80-120 bpm (112-120 bpm en compétition), et pour le Fox trot entre 120-180 bpm.

Le Slow fox trot est certainement la plus technique des danses de salon car elle fait travailler la notion de fluidité des mouvements avec une combinaison entre le rythme et les élévations qui se fondent pour donner cette sensation d’osmose et de légèreté du couple.

Les bienfaits du Quick step :


On le découvre dans les années 1920 sous le nom de ‘Quick time fox trot.

Son tempo varie entre 180-208 bpm (200-208 compétition).

Le Quick step est la version rapide du Fox trot. Ce qui a pour effet de permettre l’appréhension de vitesse d’exécution des mouvements. Cette danse, étant issue du Charleston, se veut dynamique et swinguée. Bien que très pointue, elle apporte de la joie tant dans sa pratique que dans l’écoute des musiques.

Les danses Latines :


Les bienfaits du Paso Doble :


Le Paso Doble apparait en France en 1914. Il nous vient de l’Espagne où il se dansait depuis la fin du 18ème siècle. Le premier concours a eu lieu en 1909.

Son tempo varie entre 86-132 bpm (120-124 bpm en compétition).

Le Paso Doble repose sur la marche. Cette danse permet très rapidement d’y agrémenter des jeux de positions de couples (Position : emboîtée, déboîtée, contre déboîtée, promenade, contre promenade, etc. – le tout en avant ou en arrière). Il y a aussi des figures statiques. On y travail des variations avec des éléments binaires (exemple : la clé d’entrée) et d’autres ternaires (exemple : le zig-zag) ce qui enrichit les combinaisons rythmiques.

Les bienfaits de la Rumba :


La rumba se danse dans les années 1920-1930 en France. Mais se développe au cours du 19ème siècle à Cuba. Elle devient une danse sportive en 1930 (par Monsieur Pierre - Pierre Jean Philippe Zurcher Margolle et Madame Doris Lavelle).

Son tempo varie entre 62-114 bpm (100-108 bpm en compétition).

La rumba est une danse qui permet de travailler sa sensualité. C’est la danse de l’amour par excellence. Cette danse qui se veut lente et langoureuse est par conséquent plus simple à pratiquer. D’un autre côté, elle favorise l’apprentissage du contact au sol par la plante des pieds, ce qui a pour effet de faire travailler les muscles des fessiers, des cuisses et surtout les hanches ainsi que le bassin. Elle permet également de comprendre et de danser à contratiempo. Sa rythmique caractéristique oblige dès le début à intégrer la notion des vites et des lents. Enfin, on y assimile le contrôle du corps, notamment avec le ‘check’.

Les bienfaits du Chachacha :


On danse le Chachacha en France depuis de 1961 (grâce au groupe de musicien latinos : Los Machucambos) mais c’est un genre musical inventé en 1949 par le violoniste cubain Enrique Jorrin. Il a fallu attendre 1951 pour qu'il enregistre le morceau. En outre, il forma son propre orchestre en 1954 (ce fut le début du développement du Cha-cha-cha à l'international).

Son tempo est de 100-136 bpm (120-128 bpm en compétition).

Le Chachacha est le grand frère de la Rumba mais avec un tempo plus rapide et se danse aussi à contratiempo. Il permet d’appréhender le pas chassé (Cha-cha-cha) donc la combinaison de rythme (entre les lents et les vites), mais aussi de prendre du plaisir sur les mélodies souvent dynamiques et joyeuses. Cette danse aussi favorise le travail des hanches.

Les bienfaits de la Samba :


La Samba est enseignée en France vers 1921 par M. Duque (Antonio Lopes de Amorim Diniz qui a patronné cette danse d'abord au Théâtre Albert 1er, puis au Shéhérazade sous l’une de ses formes premières la Semba). Le samba est devenu la musique du carnaval vers 1930. La danse a été codifiée pour la première fois en 1956.

Son tempo varie entre 76-133 bpm (100-104 bpm en compétition).

La samba est une danse très riche rythmiquement. Elle permet un travail de coordination entre les pas et les genoux. C’est une danse qui fait progresser en souplesse (son travail passant par le contact des pieds, des chevilles, des genoux et des hanches). Les musiques de Samba étant dynamiques et joyeuses, la danser procure un réel sentiment de joie et de bien-être.

Les bienfaits du Jive :


Le 24 février 1961 au palais des sports de Paris a eu lieu le premier festival international de rock ‘n’roll. Mais c’est Alan Fred qui verbalisa le Jive (rock) en 1951 avec ses émissions radios (Moondog’s rock and roll party).

Son tempo varie entre 84-233 bpm (168-176 bpm en compétition).

Le Jive (rock) permet, tout comme le Chachacha, l’apprentissage des rythmes avec les pas chassés. Il y a aussi la notion de Rock 4 temps, 6 temps et 8 temps. C’est une danse qui permet de se défouler. En effet, elle demande une énergie particulière puisqu’elle est dansée sur un tempo très souvent rapide et repose sur des jeux de jambes assez fatigants. Les musiques étant aussi souvent dynamiques, le Jive procure un sentiment de gaité et de plaisir à danser. Cette danse permet aussi d’effectuer un travail des hanches.

Les danses Latino-caraïbes :


Les bienfaits de la salsa :


La salsa désigne à la fois une forme de danse et un genre musical. En France cette danse se développa dans les années 1990. Mais la salsa a vu le jour à New York : ce style musical a été importé aux Etats-Unis par les immigrés portoricains et cubains qui se sont installés à Spanish Harlem (quartier hispanophone de Manhattan) dans les années 1960.

Son tempo est plus rapide que le chachacha et varie entre 130-210 (192-208 en compétition).

Ce n’est pas un hasard si la salsa a fait son entrée dans les salles de gym. Cette danse est en effet très efficace pour faire travailler les muscles des fessiers, des cuisses, des mollets et les abdominaux. Elle constitue un sport complet qui muscle l’ensemble du corps et améliore à la fois la souplesse et le maintien. Cette activité oblige notamment les danseurs à garder le dos bien droit. On pourrait la qualifier de grande sœur de la Rumba et du Chachacha pour la similitude des pas et du rythme. Pratiquée régulièrement, cette danse développe l’endurance et la coordination. Elle permet aussi de brûler des calories dans la bonne humeur.

Les bienfaits de la Bachata :


En France la Bachata s'est développée dans les années 2000 (‘Obsesión’ du groupe Aventura écrite par Anthony Santos (de son vrai nom : Anthony Santos, né dans le Bronx NY le 21juillet 1981) devint numéro 1 en France en 2004 pendant 7 semaines). La Bachata est née le 30 mai 1962 par la voix de José Manuel Calderón (accompagné du trio Les Juvéniles, avec les titres Borracho de Amor et Condena (que será de mí) de Bienvenu Fabián, enregistrés dans les studios de la Radiotélévision Dominicaine).

Son tempo varie entre 105-150 bpm (supérieur ou égal à 112 bpm en compétition).

C'est une des danses les plus simples à apprendre ; le mouvement est aisé : c'est une série de pas simples qui produit un mouvement d'avant en arrière, ou d'un côté à l'autre. On assimile la notion de transfert de poids du corps ou non sur les pas posés (les 4ème et 8ème temps étant juste des pointés). On y découvre aussi des breaks amenant des posés et des rythmes différents. De plus, cela permet de se concentrer sur l’exécution des bras et des mains qui, très rapidement, se développent. Pour les danseuses, cela permet de travailler tant le haut que le bas du corps. En effet, la gestuelle permet d’acquérir la fluidité du mouvement, des bras jusqu’au bout des doigts, mais aussi de développer le mouvement caractéristique des hanches.

Les bienfaits de la Kizomba :


Cette danse provient d’Angola. La musique est un fin mélange de Semba (1950) adapté sur des rythmes plus lents et de sonorités antillaises (notamment liées au Zouk amené par le groupe Kassav dans les années 80). Cette danse qui porte le nom de « fête » (ou « communauté ») en Kimbundu (une langue parlée en Angola) a été par la suite très vite appropriée par les artistes (comme Edouardo Paim, ou Olivier N’Goma pour l’Afro Zouk). Les premières musiques créées dépassent les frontières de l’Angola et conquièrent les pays lusophones, puis atteignent l’Europe à travers le Portugal (1988) et font leurs apparitions dans l’hexagone entre 2008 et 2009.

Son tempo varie entre 78-100 bpm (au-dessus de 100 bpm on dansera plus la Semba).

La Kizomba est une danse langoureuse, marchée, sensuelle. Elle permet l’improvisation. C’est une danse particulièrement riche car les figures de base peuvent avoir un nombre paire ou impaire de temps (2, 3, 5, 7, 8, 9, etc). Ainsi le danseur devra être très attentif à la pulsation, et savoir apprécier les phrasés afin de retrouver les temps forts des mesures fortes. La Marca est l’élément caractéristique de la danse. C’est un pas assemblé qui vient marquer le temps mais qui reste libre ou se libère afin de repartir (Contrairement aux autres danses ou un pas assemblé implique un transfert de poids du corps libérant l’autre pied). Les deux partenaires devront également appréhender la proximité des contacts (la connexion se faisant généralement avec les bustes, en plus des mains). De plus, le couple pourra réaliser diverses positions, La Kizomba, tout comme le Tango, permettant de passer d’une position Face à Face, à Emboité, à Déboité, à Promenade, mais aussi à Contre Emboité Contre Déboité, à Contre Promenade, à Shadow (comme le Paso Doble). Enfin, le danseur pourra jouer avec divers rythmes dans l’exécution des figures. Et la danseuse pourra soigner le travail des hanches, avec l’exécution le Suavé, la vague ou la Tarraxina.

Les danses swinguées :


Parmi elles : Les bienfaits du Lindy Hop :


Le Lindy Hop apparaît pour la première fois à Paris en juin-juillet 1937 (dans "the Cotton Club Revue" avec l'orchestre de Teddy Hill), pourtant il existe depuis la fin des années 1920 dans la communauté noire américaine de Harlem (New York) et a connu un essor avec des films en noir et blanc qui en faisaient la promotion dans les années 40 (Hellzapoppin 1941 - Groovie Movie 1944 - Twiced Blessed 1945, etc), ainsi qu’avec une figure emblématique : Frankie Manning.

Son tempo varie entre 92-200 bpm.

Le Lindy Hop est une danse qui permet d’improviser, de swinguer et de ‘s’extravertir’. C’est une danse enjouée qui permet aussi d’apprendre l’importance de la fusion entre le corps et le sol, notamment avec le Bounce.

Les danses en ligne :


Parmi elles : Les bienfaits du Madison :


On a commencé à danser le madison durant l'été 1962 ; alors que les États-Unis le dansaient déjà depuis 1960, il y a d'ailleurs une séquence de madison assez longue dans le film West side story - 1961).

Son tempo varie entre 98-166 bpm.

Le madison est une danse relativement simple. Elle permet de travailler l’exécution de pas sous forme chorégraphique avec des orientations et stimule ainsi les repères dans l’espace puisque que l’on répète souvent une chorégraphie vers les 4 murs d’une salle. Se dansant seul, le Madison permet de se soustraire à toute la partie liée au guidage simplifiant ainsi son apprentissage.